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Smithers a récemment publié un rapport sur le développement deimpression d'étiquettestendances. Le rapport montre que la valeur totale du marché mondial atteindra 44,8 milliards de dollars américains en 2024 et prévoit un taux de croissance annuel composé de 3,8 % d'ici 2029. Le rapport souligne que la durabilité et l'innovation en matière d'impression numérique entraîneront une nouvelle croissance des ventes de produits imprimés. pochettes et étiquettes d’emballage. Au début de ce siècle et en 2023, la demande d'étiquettes dans l'industrie CPG a fluctué en raison de l'impact de la nouvelle épidémie de couronne, les transformateurs ayant épuisé le stock établi comme mesure d'urgence.
À mesure que le marché se stabilise, Smithers prévoit que d'ici 2029, la valeur marchande de l'industrie atteindra 54,1 milliards de dollars américains à prix constants, avec un taux de croissance annuel composé de 3,8 %. Durant la même période, le nombre deétiquettes impriméespassera de 1 340 milliards d’équivalents d’impression A4 à 1 660 milliards, avec un taux de croissance annuel composé de 4,4 %.
L'impression flexographique reste le processus principal pour la plupart des travaux d'étiquettes à long terme, tandis que l'impression offset à feuilles et l'héliogravure peuvent obtenir une qualité supérieure. Bien que les processus numériques soient bien établis dans le secteur du web étroit, la production ne représente encore qu’une petite fraction de la production contemporaine totale. L'impression numérique est bien adaptée pour répondre aux demandes de plusieurs marchés émergents en matière de tirages d'impression plus courts, de délais d'exécution plus rapides, de versionnage d'étiquettes et de diversification des références des propriétaires de marque. Cela s’est traduit par une augmentation significative de la part de marché de l’impression numérique, à 21,6 % en 2024.
Les équipementiers traditionnels en laize étroite sont confrontés à la menace de l'impression numérique en améliorant leurs processus grâce à une automatisation accrue, notamment une configuration plus rapide des tâches et des changements de plaques, et une utilisation accrue de l'impression à palette fixe.
Le rapport indique que d’ici la fin de la décennie, l’impression numérique dépassera en termes de croissance l’impression analogique. Bien que l’impression en laize étroite sur des équipements numériques soit encore plus lente que les lignes flexographiques à haut débit, elle deviendra de plus en plus compétitive grâce à la rationalisation des flux de travail et de la gestion des travaux. L’émergence de machines plus hybrides augmentera la polyvalence des prestataires de services d’impression. Avec cette évolution, le jet d’encre remplacera le toner comme méthode d’impression numérique privilégiée pour les étiquettes.
Les recherches de Smithers suivent cinq types d’étiquettes, la croissance la plus rapide étant celle des étiquettes autocollantes et des manchons, tandis que les étiquettes à colle humide et les étiquettes moulées connaîtront une demande plus modeste. Les volumes d’impression d’étiquettes de suivi en plusieurs parties continueront de diminuer rapidement au cours de la prochaine décennie. Les manchons rétractables et les étiquettes sensibles à la pression bénéficient des exigences de durabilité des emballages, qui incluent l'utilisation de matières premières polymères plus légères, de films d'étiquettes contenant du contenu recyclé post-consommation et de technologies qui se séparent plus facilement du substrat lors du recyclage.
Cela se produira parallèlement à des mesures visant à accroître la valeur marketing des étiquettes grâce à de nouvelles technologies d'impression et de décoration, une plus grande interactivité et des marquages de sécurité, a noté Smithers.Production d'étiquettesrépond également à l'utilisation de logiciels d'intelligence artificielle (IA) plus avancés dans la conception et la mise en page des étiquettes, et à l'amélioration de la disponibilité grâce à des capacités améliorées de contrôle qualité et d'inspection sur les presses à imprimer.
Les boissons et l'alimentation sont les plus grands secteurs d'utilisation finale des étiquettes imprimées, avec une part de marché combinée de 64,9 % en 2024. Les deux secteurs d'utilisation finale connaissent une croissance saine, bénéficiant de nouvelles réglementations exigeant davantage de données sur les étiquettes concernant les ingrédients, les allergènes, les valeurs nutritionnelles. données et recyclabilité. Pour les dispositifs médicaux et les emballages pharmaceutiques, les étiquettes doivent porter des identifiants de produit uniques et des codes Data Matrix 2D pour permettre la traçabilité de la chaîne d'approvisionnement et prévenir la contrefaçon, ce qui ajoute une complexité supplémentaire.
